Paris, le 10 mars 2020
Si les rituels peuvent être rassurants par certains aspects, celui qui me conduit chaque premier de l’an à sortir de mes placards tout mon barda photographique et à courir une heure durant en cherchant à réaliser un cliché à la fois original, représentatif du changement de millésime, et représentatif de notre époque ou tout au moins de mon époque, provoque chez moi une angoisse salutaire.